La comtesse

Synopsis
A la mort de son mari, la comtesse Elizabeth Bathory se retrouve à la tête d'un vaste domaine et d'une immense fortune. Aidée de sa confidente, la sorcière Anna Darvulia, Elizabeth étend progressivement son influence, suscitant chez chacun crainte, admiration et haine, pour devenir la femme la plus puissante de la Hongrie du 17ème siècle. Elle rencontre alors un séduisant jeune homme dont elle tombe éperdumment amoureuse. Mais celui-ci l'abandonne. Certaine d'avoir été délaissée car elle n'était plus assez jeune et belle, Elizabeth sombre progressivement dans la folie et se persuade que le sang de jeunes vierges lui procurera jeunesse et beauté. Débute alors une série d'actes sanglants, à la recherche de la jeunesse éternelle. [Première.fr J'avais la flemme de le faire moi-même...]


Avis
Je suis allé voir ce film avec la même personne qui m'avait emmené voir Esther (tiens, j'ai pas fait le commentaire de celui-là..) et que j'avais emmené voir le fameux Wolfman. Autant dire que je m'attendais à un truc assez... gore est peut-être un peu fort.
Tout d'abord, l'ambiance du 17e siècle est très bien rendue ! Ensuite, je tiens à avouer que je n'ai pas pu m'empêcher de reconnaître l'actrice principale qui a joué dans American Werewolf in Paris (ok, je sors...). J'avoue aussi qu'elle m'a surpris dans ce rôle et dans le fait qu'elle soit la réalisatrice de ce film !
Pour passer au film.
L'intrigue (le sang, les vierges, etc...) ne vient pas tout de suite. On assiste vraiment à la chute de la comtesse dans la folie. Folie qui nous est si bien amenée qu'on va presque jusqu'à la comprendre ("Y'a que toi pour ça...", me souffle-t-on derrière).
Bien sûr, les prénoms sont d'époque et on se perd rapidement entre les Irtzan, les von Kraj et tout et tout... Rappelez-vous des principaux, ne vous amusez pas à tous les retenir (si vous y arrivez, faites-moi signe !).

Le Sang.
Ah bah oui ! C'est un peu THE truc qui m'a amené à le voir (non, rangez cette camisole...). Il est... relativement caché. Certaines scènes sont vraiment grinçantes de douleur mais la réalisation nous fait grâce de prises de vue pour le moins... choquantes (oserai-je avouer que j'avais la chair de poule rien qu'à entendre ce que le type décrivait ?).


Et enfin, pour ceux qui l'ont vu ou pour ceux qui n'ont pas envie de dépenser de l'argent pour ce film (c'est succinct, mais au moins, si on vous pose des questions dessus... ^^'):

Spoiler: